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UFC 284: Makhachev vs VolkanovskiUFC 284



Islam Makhachev est l’actuel champion de la catégorie lightweight de l’UFC. Le 11 février prochain, le Russe va pour la première fois de sa carrière défendre son titre. Son adversaire ? Le numéro un toutes catégories confondues à l’UFC : Alexander Volkanovski. Au vu des enjeux et du palmarès des deux combattants, la rencontre s’annonce d’ores et déjà incroyable. Néanmoins, Islam Makhachev est sûr de lui et pense déjà à sa prochaine défense de titre.


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Boxe-RDC : Junior Makabu-Martin Bakole, Charles Kisolokele raconte ses champions



La RDC est désormais comptée parmi les grands pays de la boxe professionnelle au monde, et ce grâce à deux frères, Junior Ilunga Makabu et Martin Bakole. Le premier est champion du monde WBC des poids lourd-légers et le second onzième au monde dans la catégorie des poids lourds. Si ces deux natifs de Kananga font parler d’eux aujourd’hui, leur parcours n’ont pas été aisés. Dans une interview accordé à Sport News Africa, leur coach, Charles Kisolokele est revenu sur les débuts de ces deux grands boxeurs. Celui qu’on appelle « faiseur de champions » demeure jusqu’à ce jour l’entraîneur principal de Junior Makabu.



Charles Kisolokele, Que ressentez-vous de voir le niveau qu’ont atteint aujourd’hui dans la boxe professionnelle, Junior Makabu et Martin Bakole, deux boxeurs que vous avez formés ?
Charles Kisolokele : Je suis très content de les voir à ce niveau-là aujourd’hui. C’est l’honneur de tout un pays. Je suis surtout très fier de moi, parce que cela montre que je leur ai bien transmis la matière. J’étais moi-même un bon boxeur, je n’avais pas atteint leur niveau et aujourd’hui je suis devenu entraîneur, j’ai sorti deux champions. Cela prouve que j’encadre bien les enfants et j’en suis très fier.
Lorsque vous aviez pris les deux boxeurs sous votre aile, espériez-vous les voir un jour à ce niveau ?
Oui, je le pressentais, parce que j’ai été moi-même un grand boxeur. J’étais souvent champion du Zaïre à l’époque, j’étais boxeur de l’armée. Plusieurs managers me courtisaient mais il y a eu un général, le général Nzimbi, qui ne voulait pas me laisser partir parce que je faisais la fierté de l’armée. Alors, lors de ma reconversion en tant que coach, je m’étais juré de sortir un champion du monde parmi mes élèves. Et aujourd’hui mon rêve est devenu réalité avec Junior Makabu.
Lire sur le même sujet : Après la WBC, Junior Makabu rêve d’unifier les ceintures WBA,WBO et IBF
Comment avez-vous rencontré Junior Makabu et Martin Bakole?
J’ai commencé avec Junior Makabu en 2006. IL avait commencé la boxe à Kananga, sa ville natale, où il était passé par certains clubs. Mais lors de son arrivé à Kinshasa, il habitait chez sa tante et il cherchait un club. C’est un des garçons qui habitait dans la même parcelle que lui qui me l’a présenté. Il étudiait à l’Institut supérieur des techniques appliquées (ISTA). À l’époque je n’avais pas encore de club, je lui ai demandé de venir s’entraîner avec moi à Cap Service, la salle dans laquelle je m’entraînais au Stade des Martyrs. N’étant pas de Kinshasa il s’est égaré le premier jour, il n’a pas pu arriver au stade. Le deuxième jour il a réussi à arriver jusqu’à la salle et il s’est entraîné avec moi. Après deux ans d’entraînement avec moi, il est parti en Afrique du Sud en 2008. Il est revenu en 2009, il m’a encore cherché pour continuer à l’entraîner. Il m’a dit qu’un jour nous allions atteindre les sommets. C’est en 2010 que j’ai créé mon club de boxe et quatre ans après, en 2014, j’ai signé un contrat officiel avec Junior Makabu et nous cheminons jusqu’à ce jour.
« A ses débuts, Martin était un grand fainéant »
Qu’en est-il de Martin Bakole ?
contrairement à Junior Makabu, Martin Bakole ne connaissait rien de la boxe lors de son arrivée à Kinshasa en 2012. C’est d’ailleurs Junior qui l’avait fait venir à Kinshasa. Martin était un grand fainéant. S’il vient à l’entraînement aujourd’hui, il doit fuir le lendemain. J’envoyais les gens aller le chercher pour qu’il vienne à l’entraînement. Il a commencé à apprendre la boxe avec moi. Quand j’ai annoncé la nouvelle à Junior Makabu qui était reparti en Afrique du Sud, Il n’en croyait pas ses oreilles, sachant que son frère était un grand fainéant. Après son retour à Kinshasa pour se préparer avec moi avant un des ses combats en France, Junior a tenu à voir Martin à l’œuvre. Nous sommes partis à l’Université de Kinshasa et les deux frère se sont livré un sparing de trois rounds. À la fin, Junior était très content de voir le niveau qu’avait atteint son frère. Quelques jours après, il décidé d’amener Martin en Afrique du Sud. Je m’y étais opposé car j’avais besoin qu’il puisse mûrir ici avant de partir, mais Martin avait tenu à partir et j’ai autorisé qu’il parte. En Afrique du Sud, tout est allé vite pour Martin qui a bénéficié d’un bon cadre de travail avec tous les matériels qu’il n’avait pas à Kinshasa. Et de là, il est directement passé professionnel sans faire un seul grand combat en amateur. J’en suis très fier. Je voyais un grand avenir en Martin. À ses débuts je disais à ses camarades de profiter pour le taper parce que bientôt il allait tous les taper, c’est ce qui s’est réalisé.
Quel a été votre secret pour permettre à Junior et à Martin d’évoluer ?
Mon secret, c’est l’amour que je porte à mon travail. Je respecte les horaires de travail et c’est ce que j’ai inculqué à ces deux boxeurs-là et à tous les autres que j’ai entraînés et que je continue à entraîner.
Martin Bakole est basé en Ecosse et Makabu en Afrique du Sud, êtes-vous toujours leur coach principal à tous les deux ?
Je suis toujours le coach principal de Junior Makabu mais pas de Martin. Martin s’entraîne avec moi seulement quand il est à Kinshasa mais je voyage partout avec Junior lors de ses combats. Je pars au camp avec lui, je suis avec lui partout lors de sa préparation.
Junior Makabu et Martin Bakole vous sont-ils reconnaissants?
Oui, beaucoup. Aujourd’hui on parle de moi à travers le monde grâce à eux. Je voyage à travers le monde grâce à Makabu. Il ne m’a pas oublié malgré son succès. Il m’ont beaucoup aidé. Junior héberge un des mes fils en Afrique du Sud. C’est un grand geste de reconnaissance.
« Le potentiel de Junior Makabu se voyait »
Quelles sont les qualités que vous aviez trouvées en Junior Makabu et Martin Bakole et qui vous faisaient croire en un avenir meilleur pour ces deux boxeurs ?
Ils s’adaptaient facilement à tout ce que je leur donnais comme matière, c’est grâce à ça que j’ai su qu’ils allaient aller loin. Ils étaient toujours à l’écoute et respectaient ce que je disais. Junior lui, avait du potentiel qui se voyait depuis mais il s’est beaucoup amélioré avec moi.



Quels ont été leurs points faibles que vous avez réussi à améliorer ?
Martin a été le plus difficile d’entre les deux, c’est normal il ne connaissait rien de la boxe. Si tu lui donnes un exercice difficile aujourd’hui, demain il va fuir. Mais j’ai su corriger cela. Avec le temps et grâce mes conseils, il a commencé à aimer le travail.
Pensez-vous que Martin Bakole pourra un jour devenir champion du monde ?
Oui, c’est un garçon qui aime ce qu’il fait et il est talentueux. Il faut laisser le temps au temps. Personne ne croyait qu’il pourrait battre Tony Yoka, mais il l’a fait avec la manière. Son heure viendra et il va triompher.
Vous êtes parmi les meilleurs coach en RDC en ce qui concerne la boxe, mais vous prenez de l’âge. Avez-vous formé des jeunes entraîneurs pour vous succéder un jour ?
Je ne suis pas égoïste, J’ai déjà formé plusieurs jeunes, certains étaient athlètes mais je n’ai pas trouvé beaucoup de qualités en eux comme athlètes. J’ai su qu’ils pouvaient bien être entraîneurs et je les ai convaincus à travailler avec moi pour se reconvertir en entraîneurs. Ça marche déjà bien pour certains, ils vont bientôt intégrer les sélections nationales. Plusieurs coaches qui ont des clubs viennent aussi chez moi. Ils m’appellent « père spirituel ».
Qu’est-ce qui manque à la boxe congolaise pour mieux se développer encore ?
Il nous manque des infrastructures. Nous avons du potentiel mais il nous manque des infrastructures et des matériels. Les conditions de travail doivent s’améliorer. Il faut aussi mettre en valeur les entraîneurs parce que c’est nous qui formons ces athlètes. La fédération se bat comme elle peut, voilà pourquoi nous enregistrons des bons résultats en équipes nationales mais ce n’est pas encore suffisant.
Notre enquête
Ouvrir une salle de sport : Analyse de rentabilité et budget



Ouvrir une salle de MMA (Mixed Martial Arts) peut être un business rentable pour plusieurs raisons :
- La popularité croissante de la MMA : La MMA est en constante croissance en popularité depuis les années 1990, avec de plus en plus de personnes pratiquant ce sport et de plus en plus de fans suivant les événements de MMA. Cela signifie qu’il y a une demande pour des installations de qualité pour pratiquer la MMA, ce qui peut créer des opportunités d’affaires pour les entrepreneurs.
- Les avantages physiques et mentaux de la pratique de la MMA : La MMA est un sport qui permet de développer la force, la condition physique, la coordination, la discipline et la confiance en soi. Les personnes qui pratiquent la MMA peuvent donc être motivées à s’entraîner régulièrement, ce qui peut contribuer à la rentabilité de la salle de sport.
- Les revenus diversifiés : En plus des cours réguliers, une salle de MMA peut générer des revenus supplémentaires grâce à des événements tels que des tournois, des combats professionnels ou amateurs, des camps d’entraînement, des stages de formation, etc.
- La fidélité des clients : Les pratiquants de MMA peuvent devenir des clients fidèles s’ils sont satisfaits de la qualité des équipements et des installations, de l’expertise des instructeurs et de l’ambiance générale de la salle. Les clients fidèles peuvent contribuer à la stabilité financière de l’entreprise.
- Les opportunités de partenariat : Les salles de MMA peuvent établir des partenariats avec des marques de vêtements de sport, des équipementiers, des sponsors, des organisations sportives, etc. Ces partenariats peuvent permettre d’augmenter les revenus et la visibilité de la salle.
Cependant, il est important de noter que la création et la gestion d’une salle de MMA nécessitent des compétences spécifiques en matière de gestion d’entreprise, d’entraînement sportif, de gestion de personnel et de marketing. Il est donc important de bien étudier le marché et de se former avant de se lancer dans cette activité.
Notre enquête
Les difficultés financières des sportifs africains dans les sports de combat



Les sports de combat comme la boxe et le MMA sont de plus en plus populaires en Afrique et de nombreux athlètes talentueux émergent du continent. Cependant, la plupart de ces sportifs ont du mal à vivre correctement de leur métier. En effet, comparés aux combattants européens ou américains, ils gagnent souvent très peu, et font face à des défis financiers majeurs. Ici, nous allons explorer les difficultés financières auxquelles ces derniers font face dans les sports de combat. Nous proposerons aussi des solutions pour les aider à surmonter ces défis.
Les défis financiers auxquels font face les sportifs africains dans les sports de combat
Coûts élevés de l’entraînement et de la formation
Ces coûts sont l’un des principaux défis auxquels ces athlètes font face. Les installations de formation adéquates, l’équipement, l’entraînement professionnel et les déplacements pour participer à des compétitions internationales peuvent être très coûteux pour eux. Les fonds gouvernementaux et les commanditaires sont souvent insuffisants ou difficiles à obtenir. Cette situation laisse donc les athlètes lutter pour trouver des financements suffisants pour s’entraîner et concourir à un niveau professionnel. Et cela peut affecter leur carrière et leurs chances de réaliser leur potentiel.
Opportunités limitées de participer à des compétitions internationales
Les compétitions internationales sont très souvent le meilleur moyen de se faire connaître lorsqu’on pratique un sport. Si pour les occidentaux ce n’est pas le cas, pour les africains, les coûts de voyage, d’hébergement, d’entraînement et de participation aux tournois peuvent être très élevés. Cette charge est donc une limite qui tue les opportunités qu’ils pourraient saisir pour espérer prendre une place conséquente dans ces milieux. De plus, les financements publics pour les sports de combat sont souvent insuffisants dans de nombreux pays africains. Ceci laisse donc peu de ressources pour les athlètes qui cherchent à améliorer leurs compétences et leur niveau de jeu.
Une rémunération faible par rapport aux marchés européens et américains
En comparaison avec les marchés européens et américains, les sportifs africains ont souvent une rémunération beaucoup plus faible. Cela rend difficile leur capacité à subvenir à leurs besoins et à ceux de leur famille. Les sponsors sont également plus rares en Afrique, ce qui limite les possibilités de gagner de l’argent en dehors des compétitions. C’est la raison pour laquelle nombreux sont ces athlètes qui ont un travail à temps partiel.
Toutes ces contraintes entraînent donc des conséquences que nous présentons ci-dessous.
Les conséquences de ces défis financiers sur la vie des sportifs africains dans les sports de combat
L’abandon de leur carrière
En effet, c’est l’une des conséquences majeures des défis financiers auxquels ces sportifs font face. Les athlètes peuvent rencontrer des difficultés à investir dans leur équipement, à voyager pour des compétitions ou à se permettre des soins médicaux. C’est pourquoi on les voit très souvent abandonner leur carrière sportive pour chercher d’autres sources de revenus plus stables. Et c’est d’autant plus plausible lorsqu’on sait qu’ils ont presque tous une famille dont ils doivent s’occuper. La situation est donc précaire pour ces sportifs qui peinent à vivre de leur passion pour les sports de combat.
Incapacité à se concentrer sur leurs formations et leurs carrières
En effet, ces défis financiers impactent directement sur la capacité de concentration de ces sportifs sur leurs formations et leurs carrières. Le travail à temps partiel, les contraintes sociales dont nous avons parlé plus haut sont entre autres des freins à leur épanouissement. Et comme on le sait tous, il est impossible d’atteindre certaines sphères dans ce milieu lorsqu’on ne peut pas se permettre des sacrifices pour lui.
Impacts sur leur santé mentale et physique
Comme on peut s’en douter, les athlètes peuvent ressentir un stress et une anxiété importants en raison des difficultés financières. Ces derniers peuvent affecter leur motivation et leur moral. De plus, l’incapacité :
- À financer une alimentation saine
- À accéder à des soins médicaux de qualité
- Ou à investir dans leur équipement peut nuire à leur santé physique et les rendre plus vulnérables aux blessures.
Cette situation peut être encore plus difficile pour les athlètes qui n’ont pas de soutien familial ou gouvernemental pour les aider à surmonter ces défis financiers.
Les solutions pour surmonter ces défis financiers
Certaines solutions peuvent être mises en place pour améliorer la situation de ces jeunes étoiles qui pourraient briller si elles avaient leur chance. Parmi elles, on peut citer :
Le soutien financier des gouvernements et des organisations sportives en Afrique
Les premiers acteurs dans cette lutte pour l’épanouissement des combattants africains devraient être les gouvernements et les organisations sportives. En effet, comme de nombreux sportifs le réclament, on aimerait bien voire plus d’implication de ces derniers dans ces domaines qui, nous en sommes certains, peuvent être très porteurs en Afrique. Ils sont en effet plus légitimes en la matière que quelques journaux ou combattants faisant la propagande des sportifs.
L’encouragement des sponsors à soutenir les athlètes africains
Les sponsors, ce n’est pas ce qui manque sur le continent. Et pourtant, on voit plus ces derniers investir leur argent dans d’autres domaines sportifs. Et pourtant, les sports de combat ont aussi leur chance, surtout lorsqu’on voit ces combattants européens ou américains qui brassent des millions en quelques combats. Il s’agirait donc pour les gouvernements et les organisations sportives de faire valoir ces disciplines auprès des sponsors les plus intéressants présents sur le territoire.
Le développement des compétitions africaines
Le but ici est d’offrir plus d’opportunités aux combattants africains. Si vous suivez un peu le fil, vous avez dû remarquer qu’il est difficile pour ces sportifs de s’expatrier en Occident. Pourtant, si ces derniers arrivent à faire parler d’eux sur leur territoire, cela peut avoir un impact significatif sur leur carrière. De plus, ce serait selon nous, le meilleur moyen de promouvoir les sportifs africains. Des combattants expérimentés formés chez eux et capables de prouver leur valeur partout ailleurs.
En somme, les sportifs africains dans les sports de combat ont un talent immense. Mais ils font face à des défis financiers qui entravent leur carrière et leur vie en général. Pour les aider, il est important que les gouvernements, les organisations sportives et les sponsors fournissent un soutien financier et des opportunités accrues. En développant les compétitions africaines et en encourageant la participation des combattants africains à des compétitions internationales, ces disciplines peuvent atteindre des sommets sur le continent.
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Équipements incontournables pour s’entraîner aux sports de combats



Les sports de combat ou les arts martiaux peuvent être dangereux, et les blessures peuvent être très graves. C’est pourquoi il est essentiel de porter des équipements de protection adéquats. Ces derniers sont également nécessaires pour garantir que les combats sont équitables et justes. Aujourd’hui, nous allons examiner les équipements et accessoires essentiels de combat.
Les gants de combat
Les gants de combat sont l’un des équipements les plus importants pour les combattants. Ils sont conçus pour protéger les mains et les poignets du combattant. De plus, ils permettent de réduire la force des coups portés par celui-ci, ce qui peut aider à prévenir les blessures graves.
Les différents types de gants
Il existe plusieurs types de gants de combat, chacun avec ses propres avantages et inconvénients. Les gants de boxe sont les plus courants, mais il existe également des gants de MMA et des gants de kickboxing. Ceux utilisés pour la boxe sont généralement plus rembourrés et plus lourds que ceux du MMA et de kickboxing.
Critères de choix pour les gants
Lors du choix des gants de combat, il est important de prendre en compte plusieurs critères. Vous devez veiller à ce qu’ils soient confortables et ajustés, mais pas trop serrés. Ils doivent également être durables et offrir une bonne protection.
Les protège-tibias
Les protège-tibias sont un autre équipement essentiel pour les combattants. Ils permettent de protéger les tibias et les pieds du combattant. Les combattants les utilisent pour prévenir les blessures lors des coups de pied et des coups de pied bloqués.
Les différents types de protège-tibias
Vous verrez plusieurs types de protège-tibias sur le marché notamment les protège-tibias en mousse et les protège-tibias en cuir. Ceux en mousse sont plus légers et plus confortables, tandis que ceux en cuir sont plus durables et offrent une meilleure protection.
Critères de choix pour les protège-tibias
Lors du choix de votre protège-tibias, vous devrez prendre plusieurs critères en compte. Le premier critère sur lequel vous devez vous attarder est la durabilité. En effet, plus l’équipement est de bonne qualité, plus il est durable et est susceptible de vous offrir une bonne protection. Veillez aussi à ce qu’il soit à votre taille (pas trop grand et pas non plus serré).
Les casques
Le port d’un casque est essentiel pour ceux qui pratiquent les sports de combat, car il offre une protection vitale pour la tête et le visage. En effet, un coup porté à la tête peut vite causer des blessures graves, telles que des commotions cérébrales, des fractures du crâne et des saignements. Un casque aidera donc à réduire le risque de blessures à la tête et au visage lors des combats et des entraînements. Ainsi, le combattant pourra se concentrer sur sa performance en toute quiétude.
Les différents types de casques
Parmi les types de casques de combat les plus connus, on peut citer :
- Les casques intégraux
- Les casques à visière
- Les casques semi-intégraux.
Les casques intégraux offrent une protection maximale pour la tête et le visage, tandis que les casques à visière offrent une protection pour le visage seulement. Les casques semi-intégraux offrent une protection pour le visage et le menton, mais laissent la mâchoire exposée. Le choix du casque dépend des préférences personnelles du combattant et de la discipline de combat pratiquée.
Critères de choix pour les casques
Les critères de choix pour les casques de combat incluent :
- La taille et la forme afin d’avoir un ajustement parfait
- La qualité de la mousse intérieure pour une protection maximale contre les coups
- Le poids léger pour un confort optimal,
- La ventilation pour éviter la surchauffe et la visibilité pour une bonne vue sur l’adversaire.
Les combattants doivent également prendre en compte leur budget et leur niveau de compétence lorsqu’ils choisissent un casque
Les protège-dents
Les protège-dents sont importants pour les sports de combat car ils protègent les dents, la bouche et les mâchoires des coups directs. Ils aident à prévenir les lésions dentaires, les fractures de la mâchoire, les commotions cérébrales et les lésions du cou.
Les différents types de protège-dents
Il existe deux types de protège-dents pour les sports de combat : les protège-dents préfabriqués et les protège-dents sur mesure. Les préfabriqués sont des protecteurs dentaires prêts à l’emploi, tandis que les sur mesure sont faits sur mesure pour s’adapter parfaitement à la bouche du combattant. Les protège-dents sur mesure offrent une meilleure protection et un meilleur ajustement que les protège-dents préfabriqués.
Critères de choix pour les protège-dents
Les critères de choix pour les protège-dents incluent la protection offerte, la facilité d’utilisation, le confort et l’ajustement. De bons protège-dents doivent offrir une protection maximale pour les dents, la bouche et les mâchoires. Ils doivent également être confortables et faciles à utiliser. L’ajustement est également important pour une protection efficace et un confort optimal.
Les autres accessoires essentiels de combat
Les bandages pour les mains
Le bandage pour les mains est un accessoire essentiel pour les sports de combat car il offre une protection supplémentaire aux mains et aux poignets. Il peut aider à réduire le risque de blessures telles que les fractures et les entorses.
Les coquilles pour les hommes
Les coquilles sont un indispensable pour les hommes pratiquant les sports de combat. En effet, elles protègent leurs parties génitales des coups et blessures potentiellement graves. Elles assurent ainsi leur sécurité et leur confort lors des entraînements et des compétitions.
Les protège-poitrine pour les femmes
En plus de protéger des blessures potentiellement graves, ces accessoires offrent également un soutien supplémentaire pour les seins pendant les mouvements dynamiques. Ils réduisent l’inconfort et la douleur associés aux impacts. De plus, ils peuvent aider à améliorer la confiance en soi et le bien-être mental des femmes qui pratiquent des sports de combat. Tout ceci en leur permettant de se concentrer sur leur entraînement sans se soucier de leur apparence physique ou de l’inconfort.
Désormais, vous en savez beaucoup plus sur les équipements indispensables à ceux qui pratiquent les sports de combat. Que vous soyez amateur ou professionnel, vous aurez besoin de ces accessoires pour garantir votre sécurité.
Notre enquête
Il était une fois : Les femmes dans le MMA



Le MMA, ou arts martiaux mixtes, est un sport en pleine croissance, mais souvent associé à une masculinité agressive. Pourtant, les femmes du milieu ont prouvé leur capacité à rivaliser avec les hommes, ainsi que leur détermination à s’y faire une place. Dans cet article, nous examinerons les défis et les opportunités auxquels les femmes font face dans le MMA. Vous aurez également les avancées récentes en matière d’inclusion et de représentation des femmes dans ce cercle encore réservé aux hommes.
Les différents défis pour les femmes dans le MMA
Les défis les plus importants auxquels les femmes font face dans le MMA sont les suivants :
Les stéréotypes de genre
Les stéréotypes de genre dans le MMA sont un obstacle majeur pour les femmes pratiquant ce sport. En effet, elles sont souvent considérées comme moins aptes physiquement et moins compétentes que les hommes dans les sports de combat. Cela peut les décourager de s’entraîner et de participer à des compétitions de MMA. De plus, elles peuvent subir des commentaires sexistes et des jugements sur leur apparence physique, affectant ainsi leur confiance en elles.
Les inégalités salariales et de traitement
Comme dans de nombreux corps de métiers, les inégalités salariales entre les deux sexes causent encore problème. En effet, les femmes ont souvent des salaires inférieurs à ceux des hommes, même lorsqu’elles ont des performances similaires ou supérieures. En outre, elles peuvent être confrontées à des limitations quant aux opportunités de carrière et de sponsorisation. Cela peut les empêcher de progresser dans ce sport.
Les risques pour la santé et les préjugés à leur égard dans les sports de combat
Les femmes pratiquant les sports de combat, tels que le MMA, sont confrontées à des risques pour leur santé, tels que :
- Des blessures à la tête
- Au visage
- Aux articulations.
De plus, elles sont souvent victimes de préjugés liés au genre, notamment le sexisme et la stigmatisation de la violence féminine. Cela peut limiter les opportunités pour elles dans le MMA et les autres sports de combat. Une conséquence directe à cela est une difficulté à avoir le soutien et la reconnaissance qu’elles méritent en tant qu’athlètes de haut niveau.
Les opportunités pour les femmes dans le MMA
Malgré ces difficultés, les opportunités pour ces combattantes ne cessent d’émerger. On relève notamment :
L’augmentation des opportunités de carrière et de visibilité
En effet, ces dernières années, les opportunités de carrière et de visibilité pour les femmes dans le MMA ont considérablement augmenté. Avec la création de divisions exclusivement féminines et l’organisation de combats de haut niveau impliquant des femmes, elles peuvent maintenant concourir dans le MMA. Et cela à un niveau professionnel avec des perspectives de carrière viables. De plus, la visibilité accrue des combats de MMA féminins à la télévision et sur les réseaux sociaux a permis aux athlètes féminines de gagner en reconnaissance et en soutien. Notons que cela peut avoir un impact positif sur leur développement personnel et leur image publique.
Les modèles féminins dans le MMA
Plusieurs modèles féminins dans le MMA ont inspiré et motivé les femmes à poursuivre leur passion pour ce sport. Elles représentent un espoir pour ces femmes qui désespèrent de se faire de la place dans ce milieu encore réservé aux hommes. Parmi elles, on peut citer :
- Miesha Tate : Une ancienne championne des poids coqs de l’UFC. Elle est reconnue pour son leadership et son engagement en faveur des droits des combattantes féminines.
- Cris Cyborg : Championne de plusieurs organisations de MMA, elle est considérée comme l’une des combattantes les plus redoutables de tous les temps.
- Gina Carano : Une des pionnières du MMA féminin, elle a participé à certains des premiers combats de MMA féminins à être diffusés à la télévision.
La création de la division des poids paille à l’UFC (2014)
En effet, c’est depuis 2014 que certains des rêves de ces combattantes ont commencé à être concrétisés. Avant la création de cette division, les femmes combattantes devaient souvent se battre dans des catégories de poids masculines ou plus lourdes. Cela leur donnait bien évidemment un désavantage physique. Cette division leur a permis de montrer leur talent et leur compétence dans un cadre professionnel.
Quelques avancées intéressantes
Désormais, on relève quelques avancées qui, comparées à l’état passé des choses, sont pour le moins très intéressantes.
L’évolution de la perception des femmes dans le MMA
Au fil des années, la perception des femmes dans le MMA a évolué. Autrefois considérées comme des curiosités ou des novices, les femmes combattantes ont gagné en respect et en reconnaissance pour leur talent et leur compétence. Les divisions féminines ont été établies dans les organisations majeures de MMA. Des combattantes telles que Ronda Rousey et Amanda Nunes ont acquis une notoriété mondiale. De plus en plus de femmes pratiquent le MMA à tous les niveaux, ce qui montre que le sport n’est plus seulement réservé aux hommes.
Des performances remarquables des femmes dans les sports de combat
De grands noms féminins ont réussi à s’imposer dans un sport traditionnellement masculin. Ceux cités plus haut en sont de parfaits exemples. Ces femmes ont également repoussé les limites de ce qui était considéré comme possible pour la gent féminine dans ce domaine. Elles ont brisé des stéréotypes de genre et ont montré qu’elles peuvent être tout aussi fortes, agiles et compétitives que les hommes. Leurs performances exceptionnelles ont inspiré de nombreuses autres femmes à poursuivre leurs rêves, peu importe à quel point ils peuvent sembler audacieux ou hors-normes.
En définitive, malgré les défis auxquels elles sont confrontées, les femmes dans le MMA ont démontré leur compétence et leur ténacité dans ce sport. Leur participation et leurs réalisations aident à changer la perception de la masculinité dominante dans le milieu. Cela ouvre ainsi la voie à une plus grande diversité et inclusion dans ce domaine. On y voit donc les opportunités de carrière et de visibilité être de plus en plus nombreuses pour les femmes. Et cette tendance devrait se poursuivre à l’avenir.
Benin Fighting Championship
Tafsir Bâ la pépite sénégalaise du MMA promis à un brillant avenir



Le monde des arts martiaux mixtes africains (MMA) est en ébullition depuis l’arrivée sur la scène d’un jeune combattant très prometteur, connu sous le nom de « Taf N Boyz ». À seulement 22 ans, ce combattant a déjà remporté plusieurs victoires impressionnantes et est considéré comme l’un des favoris pour devenir le prochain champion dans sa catégorie.
Tafsir Ba est un boxeur sénégalais, également connue sous le nom de Taf N Boyz.
Né dans une famille de combattants, « Taf N Boyz » a commencé à s’entraîner très jeune et a rapidement montré des aptitudes exceptionnelles pour les arts martiaux. Il a fait ses débuts professionnels en MMA à l’âge de 19 ans et a rapidement attiré l’attention des fans et des experts de la discipline grâce à sa rapidité, sa puissance et sa technique.
Au fil des ans, « Taf N Boyz » a accumulé un palmarès impressionnant, avec un taux de victoires de plus de 90 %, dont la plupart ont été remportées par KO ou soumission. Il est considéré comme l’un des meilleurs combattants de sa catégorie et a déjà remporté plusieurs titres régionaux.
Il a commencé à pratiquer plusieurs sports dès son plus jeune âge tel que la gymnastique, le rugby et le roller. Il a également été champion du Sénégal de sanda à trois reprises Il a remporté les championnats du Sénégal de boxe anglaise en 2019 et champion d’Afrique zone 2 en 2023. Formé par le célèbre Boubacar Diallo, il a rapidement gravi les échelons pour devenir l’un des meilleurs combattant sénégalais de sa génération.



Tafsir Ba est connu pour son physique imposant et sa grande force physique. Il mesure 1,80 mètre pour un poids de 91 kilogrammes, ce qui en fait un adversaire redoutable sur le ring. Il est également un lutteur très technique, capable d’adapter sa stratégie en fonction de son adversaire et de trouver des ouvertures pour marquer des points.
Depuis peu, il s’est lance un nouveau défi en se lançant dans le MMA. Durant son premier combat professionnel en MMA qui s’est déroule lors du BFC 8, il a fait preuve du incroyable maitrise de son art du striking, mais surtout, il a démontré des qualités indéniables de lutteur arrivant à mettre à plusieurs reprises son adversaire en difficulté. Le combat s’est termine par une victoire par KO au profit de Tafsir Ba.
Ce qui distingue vraiment « Taf N Boyz » des autres combattants, c’est sa détermination et son travail acharné. Il passe des heures chaque jour à s’entraîner, à perfectionner ses techniques et à étudier ses adversaires. Il est également connu pour sa discipline et sa concentration sur le ring, ce qui lui permet de rester calme et concentré même dans les situations les plus difficiles.
Avec son talent et sa détermination, « Taf N Boyz » est destiné à devenir l’une des grandes stars du MMA dans les années à venir. Les fans attendent avec impatience ses prochains combats, dans l’espoir de voir ce jeune prodige continuer à briller et à impressionner le monde des arts martiaux mixtes.
En dehors de la lutte, Tafsir Ba est également connu pour son travail philanthropique. Il est impliqué dans des projets sociaux visant à aider les jeunes défavorisés dans sa communauté. Son parcours de lutteur et son engagement social font de lui une personnalité respectée et admirée au Sénégal.
E6 Fighting Championship (EFC)
Reprendre le sport après la période du ramadan



Après le Ramadan, il est important de reprendre progressivement une activité physique régulière. Voici quelques conseils pour reprendre le sport en toute sécurité :
- Commencez doucement : Après une période d’inactivité, il est important de se remettre en forme progressivement. Commencez par des activités légères et augmentez progressivement l’intensité et la durée de vos séances.
- Hydratez-vous : Pendant le Ramadan, vous avez probablement réduit votre consommation d’eau, il est donc important de boire suffisamment d’eau pour éviter la déshydratation pendant l’exercice.
- Échauffez-vous : Avant de commencer votre activité physique, prenez le temps de vous échauffer pour préparer votre corps à l’effort et éviter les blessures.
- Choisissez des activités adaptées : Choisissez des activités qui conviennent à votre niveau de forme physique et à vos préférences personnelles. Si vous êtes débutant ou si vous avez des problèmes de santé, consultez un professionnel de la santé pour obtenir des conseils sur les activités les plus appropriées pour vous.
- Soyez régulier : Pour obtenir les meilleurs résultats, il est important d’être régulier dans votre pratique sportive. Essayez de faire de l’exercice au moins trois fois par semaine.
En suivant ces conseils, vous pourrez reprendre le sport en toute sécurité après le Ramadan. N’oubliez pas que la pratique d’une activité physique régulière est bénéfique pour la santé physique et mentale.